S'ils avaient tous été inconnus et sans passé (quand j'ai commencé à écouter l'album, c'était ce que je croyais), la constatation serait restée identique : un très bon album de rock américain indie assez conventionnel et prévisible comme dans les années 70 (et ici, vous pouvez reprendre en haut et tourner en rond à l'infini).
Coincidence : quelques heures après la parution de cette chronique, I Left Without My Hat consacre un article à la reformation de Pavement pour une tournée mondiale et la sortie d'un 'best of'. Intéressant pour remettre en perspective quand on sait que l'album ici chroniqué est malgré tout sorti dans une... certaine indifférence!