Sur la grande échelle de Richter de la réplication continue au sein du phénomène musical, ce palestino-californien s'inscrit au degré 6 (ça tombe bien, Richter, c'est comme Little Reviews, ma cousine institutrice et Pitchfork, ça met des points sur 10). On est ici dans la catégorire Gonjasuffi, côté dub world, mais ici parfois plus prononcé et arabisant.
Etant entendu que tout est relatif en matière de renouvellement des évènemenents en sismologie. Andre est peu suspect de copiage puisqu'il enregistre depuis plus de dix ans. Et puiis, Gonja ne faisait jamais que de décoiffer du déjà existant.
Ceci est tout de même une production après d'autres, dont certaines sont "free" sur son label (Mush Records).
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Morceau d'un album précédent :
