La piqure de rappel était là : dans son top 10 de l'année 2010, Brainfeeders & Mindfuckers hissait haut cet album aux côtés de quelques très belles émotions déjà partagées : Meursault, Extra Life, Current 83 ou Emeralds (merci aussi à des Chibres et des Lettres sur ce coup!). L'album attendait, downloadé dès la chronique initiale de Nathan, mais un peu négligé (le temps, mes amis, le temps!).
Un peu abandonné aussi parce que, concernant ce genre de travail, mon écoute est lente et étalée dans le temps même si récurrente. De plus, les mots me manquent alors que d'autres les ont. J'en reviens toujours -et ici la pochette m'y engage à nouveau- a cette stupide métaphore du vaisseau métallique dans un océan industriel (bla-blabla). Donc, les liens de cette chronique sont là pour s'en servir...
Indie Rock Mag et Chronique Electroniques
Tiens, au passage, j'ai beaucoup apprécié aussi l'Entropic City de Peter Van Hoesen. Et si j'ai envie de conseiller son écoute, je ne vois pas plus qu'en dire. (Branche ton Sonotone, C'est entendu, Chroniques Electroniques).
