Je ne regrette vraiment pas d'avoir cédé aux sirènes de Twist (I left without my hat, Dans le Mur du Son). Je ne passerai donc pas mon temps à retresser la couronne de lauriers attribuée dans la catégorie "petit-fils des Beatles et fils d'Elliott Smith". Peut-être une référence supplémentaire, celle de Brendan Benson, que Jeremy évoque à l'occasion dans son registre plus power pop. Quant aux regrettables élans de violons qui assimilent certains morceaux à de la variété (voir notamment Organ Donor, ci-dessous, mais Knots est pire alors que cela passe merveilleusement bien dans John The Detreminist) c'est probablement d'une grande subjectivité de les regretter...
Jeremy Messersmith - Organ Donor from Eric Power on Vimeo.