Dans la brouette
Marrant, je termine une agréable conversation avec un éminent confrère blogueur sur le dernier Ted Leo, mon argumentation restant invariable : ça n'invente rien, mais c'est la crème d'un style, le rock à guitares indie et on voit mal pourquoi on renoncerait à ce plaisir passager. C'est que dans le style, dans une fourchette comprise en le Ted Leo en question et les New Pornographers, il s'en déverser des brouettes de bons disques aux Etats-Unis chaque année.
Et ils n'arrivent pas tous ici ou sans grande pub. C'est le cas de Jaill malgré qu'il soit publié sur le label Subpop. Ce n'est pas le top, mais ici aussi le plaisir est au rendez-vous...