Je lisais l'autre jour une anecdote sur les Kings of Leon qui, en concert américain, ont du interrompre leur prestation. Ils étaient pris pour cible par une centaine de pigeons qui s'étaient retrouvés captifs sous la toiture du hall. Les joyeux volatiles attaquaient en piqué et chiaient dans leur froc de trouille. A défaut de froc, néanmoins, ce sont les Kings of Leon qui se prenaient tout...
Et, donc, j'apprends qu'en première partie, le groupe new-yorkais The postelles était lui passé au travers (si j'ose) et était allé au bout de sa prestation. Et alors, me direz-vous? Alors, je préparais justement ma chronique sur le premier album des Postelles, m'apprêtant à souligner à quel point, dans le veine Beatles ou Buddy Holly, je leur reprochais d'être un peu trop propres sur eux.
Allais-je oser maintenir l'esprit de ma chronique! Oui! Oui! Oui! Ceci dit, les quatre roucouleurs ne sont pas si désagréables que ça. Au contraire...
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