Ether ether
Il y a plaisir à remercier les dénicheurs d'albums dont pas grand monde ne parle et qui valent le détour. Hier, c'était Mugstar et Arbobo, aujourd'hui, Fursaxa et Jazz, Blues & Co. Dans un cas comme dans l'autre, le bloggeur francophone apparaît parmi les premières références d'une recherche Google. Avec le respect qui leur est dû (aux blogueurs en question), cela veut dire que ces albums sont bien peu connus. Et avec ma modestie légendaire, je me dis qu'un petit coup de pouce supplémentaire sera bienvenu, même si la qualité n'attend pas le nombre des articles.
Il est vrai pourtant que je n'ai pas grand chose à ajouter à ce que Thierry en a dit. Allez, si, une chose : dans les références déjà citées, dont certaines par Dahu en commentaire (Espers, Marissa Nadler, Six Organ of Admittance, Lisa Gerrard, Nico), j'ajouterais volontiers que Fursaxa marche ici, certainement avec plus de musicalité et mélodicité, sur les mêmes terres que les psych-folkeux finlandais (Kiila, Islaja, Lau Nau, Kemiallisett Ystavat). D'ailleurs, dans sa discographie -septième album de Fursaxa et première fois que j'en entends parler!-, on retrouve des collaborations avec Islaja et Es.
Intéressante chronique sur Boomkat