Service minimum aujourd'hui pour dire que d'excellents confrères ont déjà dit toute la tendresse qu'ils portent à ce deuxième abum (de la maturité, même si ça ne l'empêche pas d'être boisé) de madame Emily Jane White. D'une part, je vois pas ce que je rajouterais sur une musique dont il y a si peu à dire tant son dépouillement l'identifie. D'autre part les chroniqueur et queuse sont plutôt de ceux à qui on fait confiance : De la Lune, on Voit tout et With Music in My Mind (blog qui vient de changer son frontispice pour le remplacer par un ciel comme il y avait chez moi hier soir).
Je n'ajouterai qu'une chose, bien plus souvent qu'à Alela Diane, elle me fait penser à Cat Power et Laura Veirs.
C'est un compliment.
