Ainsi soit-il.
Pourquoi une si mauvaise note?
La faute à Pitchfork! Quoi le magazine indier than indier aurait chroniqué cet album?
Non, non, mais là je fais un tour sur leur site et ils chroniquent aujourd'hui la réédition de Stone Roses, l'album éponyme des gars de Manchester, sorti à la fin des eighties.
Et Pitchfork de lui foutre une louche de 10/10 comme à un partie des albums des Beatles qu'ils ont reviewés les jours passés pour leur remastering...
Et voilà! C'est la collision. Je me demandais ce matin en écoutant le Révérend et ses Faiseurs si on avait bien besoin en 2009 qu'on nous repompe si piètrement les Stone Roses et les Happy Mondays en les remettant (si peu) au goût du jour. Pitchfork m'a apporté la réponse.
Un peu comme s'il y a deux jours, j'avais dû chroniquer l'album des français de Revolver alors que Rubber Soul se payait du 10/10 sur Pitchfork.