Bien étrange, en l'an de grâce technologique 2012 (vous savez celui des micro-enregistreurs et micro-appareils photographiques), d'empêcher la captation de sons et images "amateurs" lors d'un concert. Surtout qu'il s'agissait là d'un des rares concerts "club" visant à préparer la tournée qui amènera l'artiste ostendais dans les grandes salles belges et autres. Pour dire à quel point, c'est rétrograde, la dernière aventure du style remontait pour nous à Porcupine Tree.
D'autant plus regrettable que le "Spirit" fait partie des rares endroits où l'"éclairage" continue à se faire à l'avantage des artistes et pour les mettre en valeur. Cela aussi mérite d'être souligné en une époque où l'éclairage par l'arrière et les brouillards rouges intenses laissent à peine discerner des silhouettes...
