Album hybride et parfaitement indéfinissable, mais dont le fil des écoutes ne me lasse pas, je laisse donc à d'autres la tentative de définition, en l'occurrence, le label Underwater Peoples : In the Press Release for La Big Vic’s debut LP, Actually, the music was defined by merely describing its creators. There was Peter, an industrious analog synth tinkerer, Emilie, an extrospective songwriting violinist, and Toshio, a foreign and mysterious cornucopia of inspirations. Together, they created what critics called “cosmopolitan” music, a hybrid of synth-pop, krautrock, psych-rock, dub music, and world influences explicit and obscure, “a strand of experimental music that is as wide-spanning in feeling as it is in sound.” (Martin Douglas, Pitchfork)
A mes oreilles, cet opus vaut essentiellement par une forme de nonchalance talentueuse, l'écoute s'apparentant à une ballade légèrement remuante et funk. On se laisse porter sans adhérer plus que cela. On se laisse aller sans trop y croire. Mais, moi, j'y reviens, comme aimanté..
My Space
