mercredi, décembre 08, 2010

Matthew Dear - Black City - 8/10 / Brian Eno - Small Craft on a Milk Sea - 8/10



Comment tenter de donner un peu d'originalité à ce qui n'est finalement qu'un rattrapage : parler -tout de même!- de deux des opus électroniques qui m'auront marqué cette année, mais dont on déjà parlé en long et en large ailleurs?  La ficelle, je le reconnais, m'a été tendue par dr frankNfurter qui avait eu cette belle phrase en commentaire de la review d'Eno sur le blog Playlist SocietyL'homme (Brian Eno) a considérablement influencé tout un pan de la musique qu'on ne peut pas lui en vouloir de picorer ici ou là quelques plans de sa progéniture.  

Cela m'avait fait sourire. J'écoutais à ce moment Mathew Dear et n'arrêtais pas de me dire, outre que l'album était dur, sombre et beau, qu'il était tout de même franchement très apparenté à Brian Eno, époque Before and After Science. Etant entendu que, sur une île déserte, cet album serait des dix à emporter avec Rock Bottom, je souriais de lire dans les chroniques spécialisées que le Matthew était un genre de pape de son style. Le docteur nous rappelle que, finalement, la musique n'est jamais qu'un long serpent qui finit par se mordre la queue...

Rien d'autre? Non, rien d'autre! Ou plutôt si : Ears of Panda et Random Songs sur Brian Eno; Goute mes Disques et C'est Entendu sur Matthew Dear.