Decalcocuremanie
Un de plus dans ma série "On peut faire de très bons albums super agréables à écouter, remarquablement composés et interprétés, mais, bon, quand ça a déjà été entendu souvent, on ne va pas non plus faire un fromage autour". En l'occurrence, il y a un mystère autour de celui-ci, découvert chez l'ami Momo : comment diable, peut-on être jeunes, vivre à San Francisco et, en 2010, sortir un album qui soit quasiment une copie du Cure du début (certes, en un peu plus "habillé" comme on fait maintenant?). C'est à eux qu'il faut le demander, pas à moi!
Comme Momo le dit, les deux premiers morceaux sont terribles, puis ça se tasse. Voici déjà le premier.