quelques trous dans la couverture musicale (mythe de sisyphe). Vite, trouver de dernières perles cachées. Vite, voir si les listes des autres ne sont pas des huîtres. Donner une petite opinion et renvoyer à ceux qui, eux, étaient là en temps utile, sous forme de petit hommage à la blogosphère.
Voilà de la crème d'indie américain. De l'archétype aussi. Des Oreilles dans Babylone posait la question de l'injustice que subit un groupe comme celui-là : que manque-t-il à ce disque pour en faire un futur classique pop? De l'éclairage certainement, sinon, je ne vois pas. Avec l'immense respect que reflète bien ma note proche de 8/10, je répondrais : le petit quelque chose, indéfinissable, qui fait que d'autres émergent de cette masse importante de 30 ou 40 albums américains qui, chaque année, méritent l'estampille "'crème d'indie américain".
Si vous étiez aussi dans ceux "qui étaient sur le coup en temps utile" (ou pas, d'ailleurs, qu'importe!), n'hésitez pas à filer le lien dans les commentaires, je l'intégrerai...