Jeffrey Lewis, c'est une autre catégorie d'artiste qu'on oublie de chroniquer, tout simplement, parce que c'est une vieux camarade, qui revient assez régulièrement dans la constance.
Toujours marqué par l'anti-folk fondateur, tout en ayant réussi à s'en détacher, j'aurais presqu'envie de dire que cet album-ci est un album synthèse (pour ne pas employer le bâteau "de la maturité").
J'aime cette jolie phrase de l'ami Twist (I Left Without My Hat) : Un disque dans la continuité des précédents, où Lewis continue de trancher avec son passé. J'adhère moins à la récension de Popnews, très pertinente mais dont je digère peu le D'autres éprouveront toujours le même enthousiasme au cinquantième album. Cela nous laisse le temps de voir venir.
Si vous étiez aussi dans ceux "qui étaient sur le coup en temps utile" (ou pas, d'ailleurs, qu'importe!), n'hésitez pas à filer le lien dans les commentaires, je l'intégrerai...